dimanche 11 mars 2018

la médecine du futur, deuxième partie.

Que nous réserve le futur!

Beaucoup d'entre nous aimerions connaître le futur, certains utilisent la voyance, d'autres les prophètes comme Nostradamus, ou d'autres moyens qui laissent beaucoup de doutes.
J'ai créé une série sur 14 recherches spécifiques à notre existence, ses recherches sont effectuées à partir des progrès scientifiques et technologiques. Par la lecture de cette série, vous découvrirez notre monde du futur, tel qu'il sera, dans un avenir souvent pas si lointain! Alors bonne lecture à vous.

Semaine 8
Les articles de cette page: 
  • Des cellules "gourmandes" pourront réduire l'obésité.
  • La graisse brune, une arme contre l'obésité?
  • Gras de bébé.
  • Activer la graisse brune.
  • Il est possible de produire naturellement ses graisses brunes!
  • Avec des lunettes 3D, on pourra opérer les cancers du cerveau en chirurgie éveillée.
  • De la chirurgie éveillée à la réalité virtuelle.
  • Alzheimer, nouveau traitement potentiellement prometteur.






Voir L'apocalypse révélée par le sablier, le livre que j'ai écris suite aux recherches faites et décrites dans ce blog.


 Message important  

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Bonne lecture!

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Des cellules “gourmandes” pourront réduire l’obésité : 
641 millions d’obèses dans le monde.
Présentes en faibles quantités dans notre organisme, des cellules dites "adipocytes bruns" brûlent de l’énergie pour produire de la chaleur. L’ambition des chercheurs de l’Institut de biologie Valrose (Nice) est d’en produire in vitro et de les transplanter chez les personnes obèses pour accroître leurs dépenses caloriques. Les essais sur les rongeurs sont déjà probants.
De la graisse brune contre l’obésité

Gourmands en énergie, les adipocytes bruns semblent efficaces dans le traitement de l’obésité. Sur le modèle murin, la transplantation de ces cellules active en effet le métabolisme et favorise la fonte progressive de l’excès adipeux. Un espoir dans le traitement de cette maladie affectant 6,5 millions de Français.
A partir de cellules pluripotentes (IPS), des chercheurs de l’INSERM* ont produit un échantillon d’adipocytes bruns. Injectés dans l’organisme de souris obèses, ces derniers s’avèrent efficaces pour déloger progressivement l’excès de tissus graisseux.
Mais par quel mécanisme ? « Présentes en très faible quantité chez les adultes, ces cellules brûlent de l’énergie pour produire de la chaleur », expliquent les scientifiques à l’origine de cette prouesse. Transplantées dans l’organisme de personnes obèses, elles aident à accroître les dépenses énergétiques et enclenchent la perte de poids. En revanche, les adipocytes blancs, la deuxième catégorie de cellules adipeuses, retrouvés en quantité importante chez les patients obèses, fonctionnent à l’inverse : ils stockent l’énergie sous forme de graisses.

Une piste thérapeutique encore lointaine
A l’avenir, les chercheurs misent sur une solution pour produire in vitro des adipocytes bruns en grand nombre et à volonté. Mais la route est longue. . Les scientifiques utilisent le potentiel des IPS, capables de se différencier en n’importe quelle autre cellule de l’organisme. Or, si celles-ci se reprogramment très bien en cellules neuronales ou osseuses, la différenciation s’effectue moins bien dans le sens des adipocytes, « qu’ils soient blancs ou bruns ».
Cette piste thérapeutique constitue un sérieux espoir dans la prise en charge de l’obésité favorisant le risque de cancers, de pathologies hépatiques et cardiovasculaires. Mais des tests chez l’être humain ne pourront être réalisés « qu’après des essais précliniques conduits sur des modèles animaux (…) Un projet de plusieurs années donc ! »
Source : Unité 1091 INSERM/CNRS/Université Côté d’Azur, Institut de biologie Valrose, Nice.




Un article paru dans le journal de Montréal de Richard Béliveau, Dimanche, 25 octobre 2015 

La graisse brune, une arme contre l’obésité?
Le tissu adipeux brun possède la caractéristique de «brûler» beaucoup de calories et est de plus en plus considéré comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de l’obésité. Coup d’œil sur cette graisse brune, aux propriétés très particulières.

Le tissu adipeux est un organe ­extraordinairement complexe, qui joue plusieurs rôles importants dans la gestion des ressources énergétiques du corps. Contrairement à ce que plusieurs pensent, les cellules constituant le tissu ­adipeux (les adipocytes) ne sont pas simplement des entrepôts de graisse, mais plutôt des cellules très dynamiques qui sécrètent une grande variété d’hormones et de cytokines essentielles au contrôle du métabolisme.
Un autre aspect qui contribue à la complexité du tissu adipeux est l’existence de deux types très ­distincts d’adipocytes, chacun d’eux ayant des propriétés qui lui sont propres:
  • Les adipocytes «blancs», les plus répandus et qui sont les principaux responsables du stockage des graisses dans le corps;
  •  Les adipocytes «bruns», plus rares, qui possèdent au contraire la propriété de «brûler» l’énergie des gras grâce à leur contenu élevé en mitochondries, les «centrales énergétiques des cellules» (c’est d’ailleurs cette forte quantité de mitochondries qui donne aux cellules leur apparence brune). Chez les adipocytes bruns, les mitochondries contiennent spécifiquement une protéine appelée thermogénine (UCP-1) qui bloque la conversion de l’énergie de la graisse en énergie chimique (ATP) et provoque plutôt la production de chaleur.

Gras de bébé
Fondamentalement, la graisse brune est donc une adaptation biologique qui permet de générer de la chaleur en réponse à un environnement froid et c’est pourquoi on la retrouve en abondance chez les ­animaux acclimatés au froid ou ­encore chez ceux qui hibernent.
Chez les humains, la graisse brune est particulièrement importante chez les nouveau-nés, fort probablement pour permettre de maintenir la température corporelle suite au passage du milieu intra-utérin (37°C) à l’environnement extérieur. À l’âge adulte, par contre, cette graisse brune devient beaucoup plus rare (environ 200 g par personne en moyenne). Il semble que les jeunes femmes minces possèdent les plus grandes quantités de graisse brune, tandis que les personnes obèses ou diabétiques n’en contiennent pas ou très peu.
Malgré sa rareté, certaines observations suggèrent que la graisse brune pourrait jouer un rôle ­métabolique important. Par exemple, l’équipe du Dr André Carpentier de l’Université de Sherbrooke a déjà ­démontré que l’exposition soutenue au froid activait significativement le métabolisme de ces adipocytes, menant à une augmentation substantielle de la dépense énergétique du corps. Cette propriété suggère que des agents biochimiques ou des comportements qui activent spécifiquement le métabolisme de la graisse brune puissent contribuer au maintien d’un poids ­corporel normal.

Activer la graisse brune
Deux études parues récemment suggèrent que cette approche ­pourrait être valable. Par exemple, des savants allemands ont montré que l’adénosine, une molécule ­impliquée dans plusieurs processus physiologiques normaux, stimule très fortement la dégradation des graisses des tissus adipeux bruns et favorise la transformation ­d’adipocytes blancs en adipocytes bruns. Cette transformation du tissu adipeux blanc en graisse brune a également été récemment observée sous certaines conditions de stress physiologique et ­pourrait donc représenter une piste très intéressante pour le traitement de l’obésité.
En attendant, il faut se rappeler que l’obésité n’est pas une maladie inévitable, mais plutôt un état ­extrême qui est directement causé par nos mauvaises habitudes de vie, en particulier l’excès de calories. Au lieu d’attendre la découverte d’un éventuel médicament anti-obésité, il est de loin préférable d’attaquer le problème à la source, en modifiant en profondeur les habitudes alimentaires et en adoptant un mode de vie actif. Pour votre tour de taille, bien sûr, mais surtout pour votre santé en général.

Il est possible de produire naturellement ses graisses brunes!
Comment booster ses graisses brunes ?
Si on a longtemps pensé que les adultes n’avaient pas de graisses brunes en eux, la recherche contre le cancer a récemment conduit à constater leur présence dans certaines zones du corps adulte (autour du cou, des clavicules ou le long de la colonne vertébrale). Mais ce n’est pas tout : des chercheurs de Harvard ont également constaté qu’il était possible d’augmenter notre part de graisses brunes.
Comment ? Avec certaines habitudes de vie, notamment en favorisant une atmosphère plutôt fraîche (porter moins de vêtements, dormir dans une pièce à 19°C ou… frissonner). Ils ont par ailleurs observé qu’une heure de sport (ou 15 minutes de frisson) conduit à la production d’une hormone, l’irisine, qui transforme des graisses blanches en graisses brunes. Prendre ces habitudes (dormir au frais, frissonner…) peut aider à la production de 30 % d’adipocytes bruns supplémentaires.
Si, même pour la bonne cause, vous ne souhaitez pas transformer votre maison en frigo, vous avez une autre possibilité de faire baisser temporairement votre température corporelle par la pratique du bain dérivatif ou des poches de glace sur le périnée.

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Avec des lunettes 3D, on pourra opérer les cancers du cerveau en chirurgie éveillée : 
Encore trois ans, minimum, de recherche et d’essais.

Première opération d’une tumeur cérébrale chez un patient éveillé portant des lunettes de réalité virtuelle.
Retirer la tumeur cérébrale d’un patient éveillé plongé dans une réalité virtuelle grâce à des lunettes 3D ; une intervention du futur ? Non ; une première mondiale qui vient d’être réalisée au CHU d’Angers dans le cadre du projet de recherche intitulé CERVO (Chirurgie Eveillée sous Réalité Virtuelle dans le bloc Opératoire). En permettant au patient d’interagir très précisément avec le chirurgien, l’instauration de la réalité virtuelle dans la chirurgie éveillée permet de pousser plus loin encore la précision de l’acte et donc de s’engager dans des interventions jusqu’alors inenvisageables.
Le projet CERVO, qui a permis cette prouesse médicale, est un programme de recherche lancé il y a 2 ans par l’équipe de neurochirurgie du Pr Philippe MENEI du CHU angevin et le laboratoire Interactions Numériques Santé Handicap (INSH) dirigé par le Dr Evelyne KLINGER à l’ESIEA (École d’ingénieurs en Sciences et Technologies du numérique).

De la chirurgie éveillée à la réalité virtuelle

La chirurgie éveillée du cerveau est pratiquée depuis les années 2000 au CHU d’Angers. Elle permet l’ablation de tumeurs cérébrales qui, dans une configuration plus classique de neurochirurgie sous anesthésie générale, seraient considérées comme inopérables. Pendant cette opération, le patient est éveillé. En stimulant le cerveau avec une électrode, le neurochirurgien peut réaliser une cartographie précise et ainsi épargner les zones du cortex et leurs connexions impliquées dans des fonctions essentielles comme la motricité et le langage.
L’immersion et l’interaction du patient dans une réalité virtuelle, alors que le neurochirurgien opère son cerveau, vont permettre d’aller encore plus loin et de tester des fonctions cérébrales plus complexes comme la prise de décision dans une situation inattendue ou encore l’exploration visuelle de l’espace. De plus, la réalité virtuelle permet d’immerger le patient éveillé dans un environnement relaxant, imprégné d’accroches hypnogènes. Cet apport est particulièrement intéressant pour la chirurgie cérébrale éveillée de l’enfant pour laquelle le service de neurochirurgie d’Angers est pionnier.

Tester le champ visuel dans un environnement reconstitué
Le projet CERVO, porté par le CHU d’Angers et le laboratoire INSH de l’ESIEA, vise à développer un dispositif de réalité virtuelle (comprenant des applications logicielles et du matériel) adapté à une utilisation au bloc opératoire de neurochirurgie ; l’idée étant d’immerger le patient dans des activités (tests de la cognition et du champ visuel, relaxation hypnotique) lors d’une chirurgie cérébrale éveillée.
La première concrétisation de ce projet est un programme permettant de tester le champ visuel du patient pendant l’opération. Cette application informatique est projetée dans des lunettes 3D de réalité virtuelle (Oculus). Ces dernières sont portées par le patient qui interagit avec le neurochirurgien. Le champ visuel est une fonction essentielle de la vision (voir ci-après). Son altération peut avoir des conséquences importantes sur le quotidien, comme la suppression du permis de conduire.
Durant l’intervention, le neurochirurgien stimule le cerveau avec une électrode. Tout comme il pouvait, jusqu’à maintenant, cartographier les réseaux du langage ou de la motricité grâce à la participation du patient éveillé, le neurochirurgien peut également localiser, et donc épargner, les connexions cérébrales des nerfs optiques dont l’atteinte conduirait à une altération définitive du champ visuel.
Ce programme de test du champ visuel a été imaginé et développé par Marc Le Renard (membre du laboratoire INSH, enseignant et ingénieur en réalité virtuelle à l’ESIEA), dans le cadre de la collaboration entre les équipes du Pr. Philippe Menei (neurochirurgie CHU d’Angers), du Dr Evelyne Klinger (Laboratoire INSH de l’ESIEA) et du service d’ophtalmologie du CHU d’Angers.
Le premier patient ayant participé au projet de recherche CERVO était porteur d’une tumeur située près des zones du langage et des connexions visuelles. N’ayant plus qu’un œil suite à une maladie ophtalmologique, épargner son champ visuel était d’autant plus important.
Il a été opéré le 27 janvier 2016 au CHU d’Angers par le Pr. Philippe Menei, avec la collaboration de l’orthoptiste Sophie Hue, le neuropsychologue Dr Ghislaine Aubain et l’anesthésiste Dr Aram Terminasian.
Cette première étape offre des perspectives nouvelles dans l’ablation de tumeurs cérébrales difficilement placées et dans la limitation de handicaps potentiellement induits par une nécessaire chirurgie. L’équipe du CHU et le laboratoire INSH de l’ESIEA ont pour objectif de poursuivre le développement de cette innovation ainsi que son déploiement vers d’autres patients. 

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Alzheimer: nouveau traitement potentiellement prometteur :

Un nouveau traitement expérimental contre la maladie d'Alzheimer s'est avéré prometteur lors d'expériences sur des animaux, et devrait, selon des chercheurs, être testé chez les humains vu son potentiel thérapeutique.
Il s'agit d'une molécule synthétique qui, injectée dans le fluide cérébro-spinal de souris et de singes de laboratoire, a permis de nettement réduire la protéine tau dont l’agrégation anormale dans le cerveau est caractéristique de la maladie d'Alzheimer et d'autres pathologies neurodégénératives aujourd'hui incurables.
Cette protéine devient toxique quand elle s’agrège sous forme de filaments qui étouffent et détruisent progressivement l'ensemble des neurones affectant notamment la mémoire.
Des chercheurs de l'université Washington à St. Louis, dans le Missouri, ont constaté que ce nouveau traitement pouvait non seulement réduire les protéines tau mais aussi inverser certains des dommages neurologiques provoqués par ses agrégations, selon une étude publiée mercredi dans la revue américaine Science Translational Medicine.

Cette molécule, appelée "oligonucléotide", cible les instructions génétiques qui permettent de produire la protéine tau, empêchant de fait sa production.
"Cette molécule est la première ayant pu inverser des dommages dans le cerveau résultant de l'accumulation de la protéine tau et ayant un potentiel thérapeutiques chez les humains", explique Timothy Miller, professeur de neurologie à l'université Washington qui a mené ces travaux.
Pour cette étude, les scientifiques ont utilisé des souris génétiquement modifiées pour développer des agrégations de la protéine tau dans leur cerveau similaires à celles constatées chez des humains.
Ils ont administré une dose quand les rongeurs avaient six mois puis ont recommencé le traitement quotidiennement pendant trente jours quand les souris avaient neuf mois. Leurs neurones commençaient à montrer des signes de détérioration.
Les chercheurs ont ensuite mesuré la quantité de protéines tau et leurs agrégations dans le cerveau des souris quand elles avaient douze mois. Et ils ont constaté une très nette diminution chez les rongeurs traités comparativement à ceux ayant reçu un placebo.

- Essais cliniques en préparation -
On a détecté moins de protéines tau dans le cerveau des souris de douze mois traitées que chez celles de neuf mois non-traitées, ce qui suggère que le traitement a non seulement arrêté l'accumulation de cette protéine mais l'a aussi inversé.
L'hippocampe, la partie du cerveau importante pour la mémoire, montrait des signes de rétrécissement dès l'âge de neuf mois chez les souris affectées.
Mais avec le traitement à base d'oligonucléotide, la dégradation de l'hippocampe et la destruction des neurones ont cessé et les souris ont vécu en moyenne 36 jours de plus que celles qui n'avaient pas reçu ce traitement. L’espérance de vie de ce type de rongeurs varie de 18 mois à deux ans.
Les souris traitées ont aussi montré plus de facilité pour faire leurs nids, ce qui reflète une plus grande aptitude à socialiser, de meilleures performances cognitives et de bonnes capacités à se mouvoir. Or ces fonctions sont justement altérées par la maladie d'Alzheimer et d'autres pathologies neurodégénératives chez les humains.
Des traitements avec les molécules oligonucléotides ont récemment été approuvés par les autorités américaines pour deux maladies neuromusculaires: la myopathie de Duchenne et l'amyotrophie spinale.
Les oligonucléotides ont été découverts par les laboratoires américains Ionis Pharmaceuticals qui se sont associés avec le professeur Timothy Miller afin de mettre au points ce traitement visant spécifiquement à réduire la présence de protéine tau.

Des essais cliniques de phase 1 sont déjà en cours pour tester l'efficacité des oligonucléotides contre les maladies neurologiques Huntington et de Charcot (sclérose latérale amyotrophique).
Avant de commencer des essais cliniques avec ce nouveau traitement pour réduire la protéine tau dans le cerveau humain, les chercheurs l'ont testé avec succès chez des singes, plus proches des humains que les souris.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, plus de 36 millions de personnes dans le monde sont atteintes de démence, dont une majorité de la maladie d'Alzheimer. Ce nombre devrait doubler d'ici 2030 et tripler d'ici 2050, à 115,4 millions, si aucun traitement efficace n'est découvert dans les prochaines années.
Source, SCIENCES ET AVENIR  SCIENCES, Par AFP le 25.01.2017

Autre recherche;

CE NOUVEAU TRAITEMENT CONTRE LA MALADIE D'ALZHEIMER RÉTABLIT COMPLÈTEMENT LA MÉMOIRE
Parmi les souris qui ont reçu le traitement, 75 pour cent ont récupéré leur fonction de mémoire.
Les chercheurs australiens ont mis au point une technologie d'échographie non invasive qui élimine le cerveau des plaques amyloïdes neurotoxiques - les structures qui sont responsables de la perte de mémoire et un déclin de la fonction cognitive chez les patients atteints d'Alzheimer.
Si une personne souffre de la maladie d'Alzheimer, elle est généralement le résultat d'une accumulation de deux types de lésions: plaques amyloïdes et nouilles neurofibrillaires. Les plaques amyloïdes s'assoient entre les neurones et se retrouvent comme des grappes denses de molécules bêta-amyloïdes, une protéine collante qui s'accumule et forme des plaques.
Les enchevêtrements neurofibrillaires se trouvent à l’intérieur des neurones du cerveau, et ils sont causés par des protéines tau défectueuses qui s'accumulent dans une masse épaisse et insoluble. Cela provoque des filaments minuscules appelés microtubules pour se tordre, ce qui perturbe le transport de matériaux essentiels tels que les nutriments et les organites le long d'eux, tout comme lorsque vous tordez le tube de l'aspirateur.
Comme nous n'avons aucun type de vaccin ou de mesure préventive pour la maladie d'Alzheimer - une maladie qui affecte 343 000 personnes en Australie et 50 millions dans le monde entier - c'est une course pour déterminer la meilleure façon de la traiter, en commençant par la façon de dégager la construction - des protéines bêta-amyloïdes et tau défectueuses du cerveau d'un patient. Maintenant, une équipe du Queensland Brain Institute (QBI) de l'Université du Queensland a proposé une solution assez prometteuse pour enlever l'ancien.
Publié dans Science Translational Medicine , l'équipe décrit la technique comme utilisant un type particulier d'échographie appelée une échographie thérapeutique ciblée, qui pousse non-invasivement les ondes sonores dans le tissu cérébral. En oscillant super-rapide, ces ondes sonores peuvent ouvrir doucement la barrière hémato-encéphalique, qui est une couche qui protège le cerveau contre les bactéries et stimule les cellules microgliales du cerveau pour qu'elles s'activent. Les cellules microgliales sont essentiellement des cellules d'élimination des déchets, de sorte qu'elles sont en mesure d'éliminer les touffes bêta-amyloïdes toxiques qui sont responsables des pires symptômes de la maladie d'Alzheimer.
L'équipe rapporte entièrement la restauration de la fonction de mémoire de 75 pour cent des souris sur lesquelles elles ont testé, sans dommage sur le tissu cérébral environnant. Ils ont constaté que les souris traitées ont affiché des performances améliorées dans trois tâches de mémoire: un labyrinthe, un test pour leur permettre de reconnaître de nouveaux objets et de les rappeler les endroits qu'ils devraient éviter.
"Nous sommes extrêmement enthousiasmés par cette innovation dans le traitement de la maladie d'Alzheimer sans utiliser de médicaments thérapeutiques", a déclaré Jürgen Götz, dans un communiqué de presse. "Le mot« percée »est souvent mal utilisé, mais dans ce cas, je pense que cela change profondément notre compréhension de la façon de traiter cette maladie et je prévois un grand avenir pour cette approche».
L'équipe affirme qu'ils envisagent de commencer les essais avec des modèles animaux plus élevés, comme les moutons, et espèrent mettre leurs essais humains en route en 2017.
Source, SANTÉ NATURELLE, By sarah, 13 MAI 2017


La semaine prochaine, la médecine du futur, la suite, troisième partie.

P.S. Voir L'apocalypse révélée par le sablier, le livre que j'ai écris suite aux recherches faites et décrites dans ce blog.

1 commentaire:

  1. c'est au cours de mes recherches sur le vih/herpès/diabète que je suis tombé sur les informations sur le vih/herpès/diabète ; information assez facile à trouver lors d'une recherche de std sur google. J'étais dans un complot à l'époque et je pensais que la guérison du vih / de l'herpès était un complot était quelque chose d'ignorant, j'ai trouvé cela assez intéressant à propos de la phytothérapie dr itua. J'ai posé des questions sur les remèdes à base de plantes sur les sites Web officiels sur le VIH/herpès/diabète et j'ai été banni pour cela par des modérateurs qui m'ont dit que je parrotais la propagande sur le VIH/herpès. cela a renforcé ma conviction qu'il existe un remède contre le vih / l'herpès / le diabète, puis j'ai trouvé une dame allemande du nom d'achima abelard dr itua pour la guérir du vih / du diabète, alors je lui ai envoyé un courrier à propos de ma situation, puis j'en ai parlé davantage et m'a envoyé son phytothérapie j'ai bu pendant deux semaines.et aujourd'hui je suis guéri pas de vih/herpès/diabète dans ma vie, j'ai cherché des groupes de vih/herpès pour tenter d'entrer en contact avec des gens afin d'en savoir plus sur le vih/herpès cure à base de plantes je croyait à ce moment que vous avez la même maladie que cette information vous est utile et je voulais faire de mon mieux pour diffuser cette information dans l'espoir d'aider d'autres personnes. ce dr itua guérit le vih, l'herpès, l'hépatite, le diabète, neuromusculaire maladies copd, fibrome, als et cancer. c'est un phytothérapeute avec un cœur de dieu unique, contactez emal..drituaherbalcenter@gmail.com www.drituaherbalcenter.com.

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