Les virus meurtriers!
- Le corona virus (COVID-19)
- Qu'est-ce que le COVID-19?
- Que sont les coronavirus?
- Symptômes et traitement.
- Des suspicions vers la Chine!
- Pas une arme biologique.
- Les 5 plus grosses épidémies de l'histoire.
- Taux de mortalité des virus majeurs dans les 50 dernières années.
- Virus créé par l'homme.
- Le bioterrorisme
- Guerre biologique
- Mon opinion.
Le corona virus (COVID-19)
Qu'est-ce que le COVID-19?
Le 31 décembre 2019, une grappe de cas de pneumonie a été signalée à Wuhan, en Chine; la cause a été confirmée comme étant un nouveau coronavirus jamais diagnostiqué auparavant chez l’humain. Ce virus est maintenant appelé COVID-19 (désigné antérieurement sous le nom nouveau coronavirus de 2019 ou nCoV-2019). L’ampleur et la sévérité de la maladie ne sont toujours pas entièrement connus.
Des cas confirmés du COVID-19 sont maintenant recensés à l’échelle internationale, y compris au Canada. La situation actuelle évolue. Chaque jour des nouveaux renseignements sont partagés et une meilleure idée se forme au fur et à mesure que cette information est analysée par les agences sanitaires des gouvernements provinciaux, nationaux et internationaux.
Que sont les coronavirus?
Les coronavirus constituent une vaste famille de virus pouvant provoquer des maladies diverses, allant du simple rhume à des maladies plus graves, comme le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV). Certains se transmettent facilement d’une personne à l’autre et d’autres pas du tout. Il existe maintenant des preuves de transmission interhumaine soutenue du COVID-19 dans certains pays.
Source, BSEO Bureau de santé de l'est de l'Ontario
« Nous devrions être autorisés, et les scientifiques chinois devraient être autorisés à étudier l’origine de la maladie », assure Larry Brilliant, qui, il y a quelques années, a été l’un des conseillers techniques des réalisateurs du long-métrage de fiction Contagion.
« Je dirais à mes amis chinois qu’il est dans leur intérêt de découvrir où se trouvaient les premiers cas, et d’être radicalement transparents », souligne-t-il, lors d’un entretien à l’AFP.
Le consensus de la communauté scientifique est que le virus n’a pas été créé par l’homme, mais certains appellent à faire la lumière sur son origine et sur sa transmission à l’homme.
Les États-Unis et l’Australie réclament une enquête internationale, mais Pékin s’y oppose, malgré les appels du pied de l’Organisation mondiale de la santé.
Les soupçons de Washington se portent de plus en plus sur un éventuel accident de laboratoire à l’Institut de virologie chinois de Wuhan, qui aurait permis à un coronavirus d’origine naturelle de contaminer des humains.
« Personne ne se fâcherait s’il s’agissait d’un accident » ou s’il était avéré que le virus circulait depuis plusieurs mois dans le reste de la Chine, avant qu’il ne soit signalé en décembre à Wuhan, juge Larry Brilliant, crédité d’un rôle majeur dans l’action menée par l’OMS pour éradiquer la variole.
L’expert, qui a dirigé pendant des années l’organisme chapeautant les activités caritatives de Google, pointe en revanche le comportement « suspect » de Pékin, l’invitant à faire taire les « rumeurs » en faisant toute la lumière dès à présent.
Mais la Chine, qui dément avoir caché des informations, s’est pour l’instant contentée de soutenir la création d’une commission sous l’égide de l’OMS afin d’évaluer « la réponse mondiale » à la COVID-19, et uniquement « après la fin de l’épidémie ».
Pas une arme biologique
Pour M. Brilliant, le génome du nouveau coronavirus - à 95% identique à celui du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV1) de 2003 - permet d’écarter l’hypothèse d’une « arme biologique ».
« S’il s’agissait d’une arme biologique, il y aurait eu beaucoup plus de différences, et il aurait été facile de voir ces différences comme ayant été conçues », détaille-t-il.
Il soutient en revanche l’ « hypothèse raisonnable selon laquelle le virus était déjà en train de se propager en Chine en novembre ou même avant, passant d’homme à homme ».
Pour que l’épidémie prenne de telles proportions dès le début de 2020, « soit il y a eu un très grand événement à Wuhan » fin 2019 permettant une circulation rapide à grande échelle, « soit le virus circulait en Chine avant cela ».
Cette dernière hypothèse permettrait d’expliquer l’évolution mineure du SRAS-CoV-1 vers le SRAS-CoV-2: « Quand le virus passe d’un humain à l’autre, il y a à chaque fois une mutation mineure ou un changement génétique qui se produit », a expliqué M. Brilliant.
Mais « nous ne pouvons pas prouver cette hypothèse en raison du terrible comportement du gouvernement chinois (...) qui agit de manière suspecte et erronée » en interdisant « aux chercheurs chinois de publier ou même de faire leurs recherches sur l’origine ». « C’est ce qui suscite des soupçons ».
Alors que certains pays sortent du déconfinement, le spectre d’une nouvelle vague est omniprésent.
La ville de chinoise de Wuhan est venue le rappeler, avec un nouveau cas dimanche après plus d’un mois de répit à la suite d’un confinement draconien.
Pour Larry Brilliant, dès le début les pays auraient dû opter pour le dépistage de tous les cas, et placer les cas et leurs contacts en quarantaine stricte, comme le recommande l’OMS. Mais de nombreux pays ont « abandonné le plan A en raison d’un mauvais leadership. Maintenant, nous en sommes au plan Z ».
Alors que plusieurs pays ont fait valoir la pénurie de tests, l’expert, qui a travaillé avec tous les patrons de l’OMS depuis les années 1970, s’insurge: « C’est irresponsable. Fabriquer des tests n’est pas si difficile (quand) nous pouvons envoyer des hommes sur la Lune »!
Source, Journal de Montréal
Les 5 plus grosses épidémies de l’Histoire
Le SIDA
Le virus de l'immunodéficience humaine ou VIH (en anglais, human immunodeficiency viruses ou HIV) est un rétrovirus infectant l'humain et responsable du syndrome d'immunodéficience acquise (sida), qui est un état affaibli du système immunitaire le rendant vulnérable à de multiples infections opportunistes.
Transmis par plusieurs fluides corporels (sang, sécrétions vaginales, sperme ou lait maternel), le sida est aujourd'hui considéré comme une pandémie ayant causé la mort d'environ 32 millions de personnes entre 1981 (date de la première identification de cas de sida) et 2018. On estime qu'environ 1 % des personnes âgées de 15 à 49 ans sont porteurs du VIH, principalement en Afrique subsaharienne.
Bien qu'il existe des traitements antirétroviraux luttant contre le VIH et retardant par conséquent l'apparition du sida, réduisant ainsi la mortalité et la morbidité, il n'existe à l'heure actuelle aucun vaccin ou traitement définitif. Le moyen de lutte le plus efficace reste donc la prévention, qui passe notamment par les rapports sexuels protégés et la connaissance de son statut sérologique de manière à éviter d'infecter autrui.
Source, Wikipedia
Avec ses 3 millions de morts annuels, le SIDA est encore considéré comme une pandémie mondiale. Selon l’OMS, c’est l’une des maladies infectieuses «les plus complexes, les plus éprouvantes et sans doute les plus dévastatrices» que l’humanité ait eue à combattre.
Malgré les efforts de prévention investis et l’efficacité des traitements, 1,8 million de personnes découvrent chaque année qu’elles sont contaminées. Et viennent ainsi grossir les rangs des millions de porteurs du virus. Aujourd’hui, l’usage du préservatif est le seul bouclier contre cette maladie pour laquelle aucun vaccin n’a encore été trouvé.
La peste noire
Telle une traînée de poudre, la peste noire (1347-1352), a décimé à elle seule près de 40% de la population européenne. Venue d’Asie, via le port de Crimée, puis de Gênes et de Marseille, elle a fait plus de 30 millions de morts. Elle est considérée aujourd’hui comme la première pandémie de l’ère moderne.
Après avoir sévi six ans dans l’Europe médiévale, elle réapparaîtra régulièrement au cours des siècles suivants. Mais dans des proportions moins destructrices.
Selon une étude parue dans la revue scientifique Cell Host & Microbe en 2016, elle serait à l’origine des épidémies actuelles.
Le Choléra
Le choléra est une toxi-infection entérique épidémique contagieuse due à la bactérie Vibrio choleræ, ou bacille virgule, découverte par Pacini en 1854 et redécouverte par Koch en 1883. Strictement limitée à l'espèce humaine, elle est caractérisée par des diarrhées brutales et très abondantes (gastro-entérite) menant à une sévère déshydratation. C’est une diarrhée infectieuse de type syndrome cholériforme (ou diarrhée hydroélectrolytique) à ne pas confondre avec le syndrome gastro-entéritique. La forme majeure classique peut causer la mort dans plus de la moitié des cas, en l’absence de thérapie par réhydratation orale (en quelques heures à trois jours).
La contamination est orale, d’origine fécale, par la consommation de boissons ou d'aliments souillés.
L'Organisation mondiale de la santé estime que le choléra entraîne chaque année environ 100 000 morts pour 4 millions de cas recensés. En France (hors Guyane et Mayotte), où le choléra autochtone a disparu, on compte entre 0 et 2 cas importés chaque année depuis 2000.
Source, Wikipedia
Le choléra a commencé à faire des ravages en 1817. Et depuis, n’a jamais cessé. Depuis plus d’une vingtaine d’années, il circule de façon endémique. C’est le cas notamment à Haïti depuis 2010.
Selon les dernières estimations de l’OMS, il y a près de 95 000 décès liés au choléra dans le monde, pour environ 2,9 millions de cas suspects. «La plupart de ces cas sont enregistrés en Inde et au Bangladesh», relève l’organisation internationale. Cette infection intestinale aigue est provoquée par des bactéries présentes dans les eaux sales et stagnantes.
Actuellement, il n’existe aucune solution miracle pour endiguer cette épidémie. Car si un vaccin existe, son effet reste limité dans le temps.
Source, Le Nouvelliste
La grippe Espagnole
La pandémie grippale de 1918, dite « grippe espagnole », est due à une souche (H1N1) particulièrement virulente et contagieuse qui s'est répandue de 1918 à 1919. Elle prit le nom de « grippe espagnole » car l'Espagne – non impliquée dans la Première Guerre mondiale – fut le seul pays à publier librement les informations relatives à cette épidémie.
Cette pandémie a fait de 20 à 50 millions de morts selon l'Institut Pasteur, et peut-être jusqu'à 100 millions selon certaines réévaluations récentes, soit 2,5 à 5 % de la population mondiale.
Selon l'historien Niall Johnson qui se base sur la fourchette basse, les plus grandes pertes ont touché l'Inde (18,5 millions de morts, soit 6 % de la population), la Chine (4 à 9,5 millions de morts selon les estimations, soit 0,8 à 2 % de la population), l'Europe (2,3 millions de morts en Europe occidentale, soit 0,5 % de la population) et les États-Unis (entre 500 000 et 675 000 morts, soit 0,48 à 0,64 % de la population).
Source, Wikipedia
La grippe Asiatique
Cette variante de la grippe aviaire a causé 1 à 4 millions de décès selon l’OMS. Elle proviendrait de la mutation d’un virus humain chez le canard combinée avec une souche humaine de grippe.
Identifiée pour la première fois dans la province de Guizhou en Chine en 1956, ce virus a fait le tour du monde en un rien de temps. Atteignant d’abord Singapour, puis Hong Kong pour arriver finalement aux Etats-Unis en l’espace de quelques mois. Avec 69’800 morts, les Etats-Unis furent l’un des pays les plus fortement touchés.
Source, Le Nouvelliste
Virus créé par l'homme
mH5N1, ce virus de la grippe ultramortel et ultracontagieux est un virus mutant... fabriqué en laboratoire. Avec un taux de mortalité potentiel de l'ordre de 60 %, combiné à une extrême contagiosité et une quasi-absence de vaccin ou de traitement. Il est transmissible avant l'apparition des premiers symptômes chez la personne infectée. Voilà qui explique que "le virus le plus dangereux du monde" soit confiné dans des conditions d'ultra haute sécurité à l'Influenza Research Institute de l'université du Wisconsin (Etats-Unis). Pourquoi là-bas ? Parce que c'est dans ce laboratoire de recherches spécialisé dans la création de mutants potentiellement pandémiques qu'est né le mH5N1, à l'instigation de l'un des virologues grippaux les plus réputés au monde : Yoshihiro Kawaoka. Lequel s'était déjà fait remarquer en 2012 pour des travaux sur le... H5N1. LES RECHERCHES SUR MH5N1 SONT CONTROVERSÉES DEPUIS LEURS DÉBUTSDes travaux qui, depuis le début, suscitent la controverse. De fait, leur extrême dangerosité nourrit de vifs débats dans la communauté scientifique, où certains surnomment les créations du chercheur japonais les "frankenvirus". En toile de fond, une question lancinante : et si le mH5N1 se répandait ? Si un accident ou une erreur de manipulation conduisait à la catastrophe ? Si des terroristes se procuraient une souche ? Bref, comment garantir que le pire ne va pas se produire ? Le jeu en vaut-il la chandelle ? Sachant qu'on parle ici d'un milliard de morts... Sachant, aussi, que des cas d'infections en laboratoire de haute sécurité ont été recensés ces dernières années... A l'échelle du monde, il y a eu plusieurs "évasions" de virus mortels (SRAS, H1N1) qui, si elles n'ont pas provoqué de pandémie, font froid dans le dos lorsqu'on songe au mH5N1. Et de fait, c'est à la suite de plusieurs incidents s'étant produits aux Etats-Unis (dont l'envoi par erreur d'anthrax à des collègues croyant avoir affaire à des échantillons bénins...) que l'administration américaine a cessé de financer les recherches sur le mH5N1. Source, Science&Vie Le bioterrorismeLe bioterrorisme ou terrorisme biologique consiste en l’utilisation ou la menace d'utilisation de virus, de bactéries, de champignons, de toxines ou de micro-organismes dans le but de provoquer intentionnellement une maladie ou le décès d'êtres humains, d'animaux ou de plantes, sans déclaration de guerre officielle ni même nécessité que l'agresseur soit un État (cela pourrait être par exemple un groupement comme le crime organisé). Il se distingue en cela de la simple guerre biologique, et pas seulement par l'ampleur de la cible. Le terme est difficilement définissable d'une manière objective, tant il existe de définitions du mot terrorisme. Par exemple, la distribution de couvertures infectées par le choléra et la variole en 1763 à des tribus aborigènes en Amérique du Nord par des militaires britanniques pourrait être considéré comme une attaque bioterroriste génocidaire délibérée. Ainsi, il est peut-être plus prudent de parler d'incidents que d'attaques et de n'utiliser le terme que pour des événements contemporains plutôt qu'historiques. Les agents biologiques sont habituellement disséminés par aérosol (inhalés ou avalés). La difficulté principale dans la préparation d'une attaque est généralement de trouver une méthode de dissémination de l'agent qui permettra une infection la plus large possible. Source, Wikipedia Guerre biologiqueLa guerre biologique, parfois appelée guerre bactériologique, est l'utilisation en tant qu'arme biologique des propriétés nocives de certains micro-organismes ou de certaines toxines. Elle est destinée à invalider ou tuer un adversaire. La guerre biologique est proscrite par l'ONU parce qu'une attaque réussie pourrait vraisemblablement engendrer des milliers, des millions, voire des milliards de morts et qu'elle pourrait détruire des sociétés et des marchés économiques. Source, Wikipedia Mon opinion: Les virus sont très dangereux, dans de mauvaise mains elles sont dévastatrices. Beaucoup de laboratoire au travers le monde, détiennent des virus pour les analysés et pour créer des vaccins. Malheureusement même s'il y a des mesures de prévention exceptionnel, pour prévenir un accident sur la propagation dans la population, les risques sont tout de même présent. Quel est la meilleur approche face aux virus? Pour moi, les chercheurs ne devraient pas garder des échantillons de virus mortel, pour un usage préventif, sachant qu'un accident de contamination, même si la possibilité est pratiquement impossible, peut tuer des millions de personnes. Autre danger possible avec ces réserves de virus, est que ceux-ci ce retrouvent dans les mains de groupes terroristes. Je crois qu'il serait avantageux que les chercheurs travaillent sur virus qui est présentement actif, quand un vaccin est produit, le virus est détruit et ainsi évité une réserve de virus. Quand à la création par l'homme de virus, ceci devrait être interdit et même sanctionné. Ceci n'est que mon opinion personnel. Michel Scherer P.S. Voir L'apocalypse révélée par le sablier, le livre que j'ai écris suite aux recherches faites et décrites dans ce blog. |
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