Que nous réserve le futur!
Beaucoup d'entre nous aimerions connaître le futur, certains utilisent la voyance, d'autres les prophètes comme Nostradamus, ou d'autres moyens qui laissent beaucoup de doutes.
J'ai créé une série sur 14 recherches spécifiques à notre existence, ses recherches sont effectuées à partir des progrès scientifiques et technologiques. Par la lecture de cette série, vous découvrirez notre monde du futur, tel qu'il sera, dans un avenir souvent pas si lointain! Alors bonne lecture à vous.
Les véhicules du futur!
Les articles de cette page:
- Les véhicules du futur.
- La voiture autonome.
- La voiture volante.
Voir L'apocalypse révélée par le sablier, le livre que j'ai écris suite aux recherches faites et décrites dans ce blog.
Les véhicules du futur!
À essence depuis ses débuts de production se fait
tranquillement tassés par les véhicules électriques. Maintenant un autre type de propulsion essais de faire la
guerre aux moteurs à essence, c’est le moteur à hydrogène!
L’hydrogène, peut-être l’avenir de l’automobile. |
De plus en plus de constructeurs automobiles mettent
l’emphase sur l’hydrogène. Hyundai, Honda et Toyota n’en sont que quelques
exemples.
Sans renier les technologies hybride et électrique, ces
constructeurs semblent persuadés que le futur de l’automobile passe aussi par
l’hydrogène.
Chez Toyota, par exemple, on a pris l’audacieuse décision de
développer un véhicule à hydrogène avant même la commercialisation d’une
première voiture entièrement électrique. Parce qu’au risque de vous surprendre,
Toyota n’a toujours pas de voiture 100% électrique sur sa flotte.
La Mirai, un véhicule fonctionnant à l’hydrogène, est déjà
disponible dans certaines régions des États-Unis. Même chose pour la Honda
Clarity et le Hyundai Tucson FCEV.
Un véhicule à hydrogène n’émet aucune autre émission que quelques gouttes d’eau.
il est possible d’obtenir l’hydrogène par électrolyse,
un procédé beaucoup plus propre qui se résume à l’envoi d’un simple courant
électrique dans l’eau pour isoler l’hydrogène. «Si l’électricité est produite
par une source d’énergie renouvelable [...], l’hydrogène qui en résulte sera
aussi considérée renouvelable», explique le U.S » Department of Energy.
«Le Québec pourrait être à l’hydrogène ce que l’Alberta a
été au pétrole», martèle Stephen Beatty, vice-président et secrétaire général
chez Toyota Canada. Avec ses grandes ressources d’eau, sa production quasi
totale d’énergie via l’hydroélectricité et sa proximité géographique avec le
Nord-Est des États-Unis, le Québec pourrait, aux yeux de M. Beatty, devenir un
grand producteur et exportateur d’hydrogène.
«L’hydrogène a un
retard de quelques années sur la voiture électrique», convient Stephen Beatty.
Selon lui, le développement du réseau d’hydrogène s’entamera par les flottes de
véhicules commerciaux. Un projet est déjà en place dans le port de Los Angeles
pour tenter de remplacer les camions au diesel par des camions à l’hydrogène.
Puis, avec le temps, la disponibilité grandissante des
stations de recharge rendra possible la commercialisation à grande échelle de
véhicules fonctionnant à l’hydrogène.
Puis, avec le temps, la disponibilité grandissante des
stations de recharge rendra possible la commercialisation à grande échelle de
véhicules fonctionnant à l’hydrogène.
Des avantages indéniables
Alors, pourquoi pousser vers le développement de l’hydrogène
au lieu de simplement se concentrer sur les voitures électriques à batterie?
«Les voitures électriques sont logiques, mais principalement
pour les déplacements urbains et pour les plus courtes distances», croit
Stephen Beatty. Leur autonomie et le temps de recharge, selon lui, rendent leur
adoption plus difficile pour le public.
Une recharge d’hydrogène, par contre, prend à peu près le
même temps qu’un plein d’essence et permet une autonomie dépassant les 500
kilomètres. Son utilisation peut aussi être associée à des plus gros véhicules
comme des camions ou des autobus sans trop nuire à l’autonomie, un autre défi
de taille pour les véhicules à batteries.
Toutefois, ce n’est pas avec l’aspect financier que les
consommateurs seront charmés par l’hydrogène. Du moins, pas pour le moment.
En Californie, le coût de l’hydrogène est à peu près
identique à celui de l’essence. Et comme la technologie est encore récente, les
véhicules sont plutôt dispendieux. La Mirai, par exemple, est offerte à partir
de 57 500$ US aux États-Unis.
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La voiture autonome!
Elle pourra parler avec vous, aider à faire les courses, ou
même s'adapter à votre humeur : la voiture de demain n'aura peut-être plus
besoin d'un conducteur, mais elle entend bien garder un rôle central dans la
vie des consommateurs.
« L'intérieur des
voitures à l'avenir sera entièrement redéfini, car les besoins seront différents
».
Les voitures sans chauffeur, dont certains acteurs du
secteur promettent une production en série aux alentours de 2020, sont un thème
phare au CES cette année, avec des prototypes et des démonstrations dans les
rues de Las Vegas par nombre de constructeurs et équipementiers. Mais si on ne
conduit plus, cela ouvre la porte à plein d'autres activités.
L'Oasis est comparé à « un salon roulant », avec un
habitacle spacieux et adaptable. Quand il passe en mode autonome, le volant se
replie pour accueillir une tablette avec un clavier et un porte-gobelet. Sur
l'écran prenant toute la largeur du pare-brise avant, les informations utiles
pour la conduite laissent place à des applications productives
(vidéoconférence) ou de divertissement.
Les véhicules sont déjà très connectés, et commencent à
parler grâce aux assistants virtuels à commande vocale.
Certains envisagent de transformer la voiture en plateforme
de paiements, comme Honda qui montre, en coopération avec l'émetteur de cartes
bancaires Visa, un système pilote pour régler directement depuis la voiture à
la pompe ou au stationnement.
Plusieurs acteurs du secteur automobile envisagent aussi de
personnaliser l'expérience de l'utilisateur avec la reconnaissance vocale,
faciale, ou même biométrique.
Cela pourrait permettre de proposer des programmes audio
différents aux passagers d'une même voiture, de se rappeler des réglages de
différents utilisateurs, ou d'adapter l'environnement intérieur à leur humeur
et leur état de fatigue.
Hyundai explique par exemple qu'on peut avoir des capteurs
dans le siège pour évaluer la posture, dans la ceinture de sécurité pour
surveiller la respiration respiratoire, dans le volant pour suivre le rythme
cardiaque, et déceler ainsi qu'un conducteur risque de s'endormir ou est en
situation de stress.
Le groupe sud-coréen expérimente sur des réponses
sensorielles : réveiller un conducteur somnolent avec de l'air frais, une
lumière bleue et une odeur mentholée, ou le calmer avec une lumière, une odeur
et une température plus chaudes.
De tels systèmes pourraient aider à diminuer les accidents,
mais aussi à « réengager » dans une situation d'urgence un conducteur dans une
voiture en mode autonome, avance David Mitropoulos-Rundus, qui travaille sur
ces sujets chez Hyundai.
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La voiture volante!
Deux ans et demi après avoir dévoilé un prototype plutôt
séduisant, AeroMobil s'apprête à présenter la version finale de sa voiture
volante qui sera commercialisée dans le courant de l'année 2017.
L'AeroMobil
n'est pas un Adav (aéronef à décollage et atterrissage verticaux), mais bien un
avion dont les ailes se replient à l'horizontale le long de la carrosserie pour
passer en mode automobile. Selon les informations livrées par l'entreprise
slovaque éponyme, l'engin biplace pourra voler à 200 km/h en vitesse de pointe
et atteindre les 160 km/h sur route. Le prototype initial était équipé d'un moteur
essence Rotax 912, mais le dernier communiqué de presse d'AeroMobil parle d'une
motorisation hybride, sans en dire davantage.
Le
poste de pilotage de l’AeroMobil dispose de toute l’instrumentation
aéronautique nécessaire. Le volant se double d’un manche. © AeroMobil
Inspirés par les drones ou par les films de science-fiction,
de plus en plus de projets de véhicules aériens voient le jour.
Esquissée dans les dessins animés des années 1960,
popularisée au cinéma dans les films Blade Runner et Le Cinquième Élément, la
voiture volante pourrait bien devenir réalité dans les mois à venir. Jamais
autant de projets n'ont été lancés, par des inventeurs indépendants, des
groupes aéronautiques ou des start-up spécialisées dans la mobilité. Même le
cofondateur de Google, Larry Page, est sur les rangs: il finance une petite
entreprise, Zee.Aero, qui développe un véhicule à décollage vertical.
Dans
l'imaginaire populaire, la voiture volante prend la forme d'un mini-astronef
capable de décoller et d'atterrir à la verticale ou d'une automobile pouvant
déployer ses ailes au moment de s'envoler.
Pilotage automatique
Recette comparable pour The Transition, présenté comme «la
première voiture volante opérationnelle» par la start-up américaine Terrafugia,
qui l'a lancée. Propulsé par un moteur à essence, cet engin biplace circule sur
la route comme une voiture traditionnelle. Une fois ses ailes dépliées, il peut
voler, y compris en pilotage automatique, sur une distance de 650 kilomètres à
10 000 pieds, avec une vitesse de pointe de 160 km/h. Terrafugia vient
d'obtenir l'aval des autorités américaines pour commercialiser The Transition
aux États-Unis. Mais, si cet appareil ressemble plus à un petit avion-taxi qu'à
une automobile, le prochain modèle de Terrafugia, le TF-X, rappellera davantage
les voitures volantes de science-fiction avec son cockpit aérodynamique et ses
propulseurs électriques. Capable de décoller et d'atterrir à la verticale,
entièrement contrôlé par ordinateur, il devrait voir le jour d'ici à une
vingtaine d'années.
De son côté, le spécialiste chinois des drones Ehang préfère
à la voiture volante le concept de «véhicule aérien autonome». Son modèle 184
ne peut pas rouler comme une automobile, mais permet de transporter un passager
sur de petites distances pour une durée de vol de 23 minutes. Physiquement,
l'appareil reprend les principes du drone: une cabine flanquée de quatre
rotors. Comme les petits modèles les plus sophistiqués, il dispose de capteurs
et de caméras qui gèrent le décollage et l'atterrissage sur des zones précises.
Un système antichute le force à atterrir immédiatement au point le plus proche
dès qu'un problème est détecté. Une application mobile permet de commander
l'appareil et, à basse altitude, le contrôle est pris en charge par un
opérateur au sol.
Le transport du futur
Dans la majorité des projets, cependant, la voiture volante
ressemble moins à une automobile qu'à une sorte de navette ou de minibus
aérien. D'ailleurs, Uber a déjà manifesté son intérêt pour de tels engins,
qu'il considère comme le moyen de transport du futur. La société a récemment
signé un partenariat avec Airbus pour lancer un service de taxi-hélicoptère. Lequel
groupe Airbus est en train de développer un projet particulièrement adapté par
l'intermédiaire de sa filiale américaine A3. Baptisé Vahana, ce véhicule
autonome est conçu comme une sorte d'avion-taxi et pourra être commandé à
partir d'un smartphone. Dépourvu de roues, il peut décoller et se poser à la
verticale. Ses hélices (quatre sur l'aileron avant et quatre autres sur les
ailes arrière) s'inclinent à l'horizontale pendant le vol. «La plupart des
technologies nécessaires, comme les batteries, les moteurs et l'avionique sont
déjà là, estime le PDG d'A3, Rodin Lyasoff. Mais notre plus grand défi consiste
à mettre au point un système de détection anticollision éprouvé pour
l'aéronautique.» Les premiers essais devraient débuter cette année en vue d'une
commercialisation d'ici dix ans.
La voiture volante promet la fin des embouteillages et la
perspective de trajets plus directs. Elle devrait aussi contribuer à réduire la
pollution et à faire des économies. «Avec ce type de véhicules aériens, il n'y
a plus besoin de dépenser des milliards en infrastructures et en routes»,
indique Tom Enders, PDG du groupe Airbus. Mais elle crée aussi de nouveaux
désagréments: nuisance sonore, risques de crash, surtout si l'engin doit
survoler des zones habitées. Sans compter qu'il faudra convaincre les autorités
et créer de nouvelles réglementations.
Enfin, les conditions d'utilisation
varieront selon le type d'appareil. Certains nécessitent un pilote, lequel
devra disposer d'une licence, d'autres sont contrôlés par un opérateur au sol
et d'autres fonctionnent en pilotage automatique, suivant l'itinéraire
programmé par les passagers à partir de leur smartphone. Alors que la voiture
autonome focalise toutes les attentions, l'ensemble de ces projets prouve qu'il
reste encore des rêveurs pour renouer avec les utopies du XXe siècle.
Le transport dans les années avenirs connaîtra un grand
bouleversement, un premier vrai virage depuis sa création. Antérieurement, les
avancés étaient sur des améliorations sur la sécurité, sur l'économie de
carburant et la plus grande avancé des dernières années, le GPS, nous
permettant d'aller dans des endroits inconnues, sans même demander notre
chemin.
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À lire la semaine prochaine; La téléportation. P.S. Voir L'apocalypse révélée par le sablier, le livre que j'ai écris suite aux recherches faites et décrites dans ce blog.
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