samedi 20 janvier 2018

Les véhicules du futur!

Que nous réserve le futur!

Beaucoup d'entre nous aimerions connaître le futur, certains utilisent la voyance, d'autres les prophètes comme Nostradamus, ou d'autres moyens qui laissent beaucoup de doutes.
J'ai créé une série sur 14 recherches spécifiques à notre existence, ses recherches sont effectuées à partir des progrès scientifiques et technologiques. Par la lecture de cette série, vous découvrirez notre monde du futur, tel qu'il sera, dans un avenir souvent pas si lointain! Alors bonne lecture à vous.
Semaine 1

Les véhicules du futur!



Les articles de cette page: 
  • Les véhicules du futur. 
  • La voiture autonome.
  • La voiture volante.









Voir L'apocalypse révélée par le sablier, le livre que j'ai écris suite aux recherches faites et décrites dans ce blog.


Les véhicules du futur!

À essence depuis ses débuts de production se fait tranquillement tassés par les véhicules électriques. Maintenant un autre type de propulsion essais de faire la guerre aux moteurs à essence, c’est le moteur à hydrogène!


L’hydrogène, peut-être l’avenir de l’automobile.

De plus en plus de constructeurs automobiles mettent l’emphase sur l’hydrogène. Hyundai, Honda et Toyota n’en sont que quelques exemples.
Sans renier les technologies hybride et électrique, ces constructeurs semblent persuadés que le futur de l’automobile passe aussi par l’hydrogène.
Chez Toyota, par exemple, on a pris l’audacieuse décision de développer un véhicule à hydrogène avant même la commercialisation d’une première voiture entièrement électrique. Parce qu’au risque de vous surprendre, Toyota n’a toujours pas de voiture 100% électrique sur sa flotte.

La Mirai, un véhicule fonctionnant à l’hydrogène, est déjà disponible dans certaines régions des États-Unis. Même chose pour la Honda Clarity et le Hyundai Tucson FCEV.






Un véhicule à hydrogène n’émet aucune autre émission que quelques gouttes d’eau.




il est possible d’obtenir l’hydrogène par électrolyse, un procédé beaucoup plus propre qui se résume à l’envoi d’un simple courant électrique dans l’eau pour isoler l’hydrogène. «Si l’électricité est produite par une source d’énergie renouvelable [...], l’hydrogène qui en résulte sera aussi considérée renouvelable», explique le U.S » Department of Energy.

«Le Québec pourrait être à l’hydrogène ce que l’Alberta a été au pétrole», martèle Stephen Beatty, vice-président et secrétaire général chez Toyota Canada. Avec ses grandes ressources d’eau, sa production quasi totale d’énergie via l’hydroélectricité et sa proximité géographique avec le Nord-Est des États-Unis, le Québec pourrait, aux yeux de M. Beatty, devenir un grand producteur et exportateur d’hydrogène.

 «L’hydrogène a un retard de quelques années sur la voiture électrique», convient Stephen Beatty. Selon lui, le développement du réseau d’hydrogène s’entamera par les flottes de véhicules commerciaux. Un projet est déjà en place dans le port de Los Angeles pour tenter de remplacer les camions au diesel par des camions à l’hydrogène.

Puis, avec le temps, la disponibilité grandissante des stations de recharge rendra possible la commercialisation à grande échelle de véhicules fonctionnant à l’hydrogène.

Puis, avec le temps, la disponibilité grandissante des stations de recharge rendra possible la commercialisation à grande échelle de véhicules fonctionnant à l’hydrogène.

Des avantages indéniables
Alors, pourquoi pousser vers le développement de l’hydrogène au lieu de simplement se concentrer sur les voitures électriques à batterie?
«Les voitures électriques sont logiques, mais principalement pour les déplacements urbains et pour les plus courtes distances», croit Stephen Beatty. Leur autonomie et le temps de recharge, selon lui, rendent leur adoption plus difficile pour le public.
Une recharge d’hydrogène, par contre, prend à peu près le même temps qu’un plein d’essence et permet une autonomie dépassant les 500 kilomètres. Son utilisation peut aussi être associée à des plus gros véhicules comme des camions ou des autobus sans trop nuire à l’autonomie, un autre défi de taille pour les véhicules à batteries.
Toutefois, ce n’est pas avec l’aspect financier que les consommateurs seront charmés par l’hydrogène. Du moins, pas pour le moment.

En Californie, le coût de l’hydrogène est à peu près identique à celui de l’essence. Et comme la technologie est encore récente, les véhicules sont plutôt dispendieux. La Mirai, par exemple, est offerte à partir de 57 500$ US aux États-Unis.


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La voiture autonome!


Elle pourra parler avec vous, aider à faire les courses, ou même s'adapter à votre humeur : la voiture de demain n'aura peut-être plus besoin d'un conducteur, mais elle entend bien garder un rôle central dans la vie des consommateurs.
 « L'intérieur des voitures à l'avenir sera entièrement redéfini, car les besoins seront différents ».
Les voitures sans chauffeur, dont certains acteurs du secteur promettent une production en série aux alentours de 2020, sont un thème phare au CES cette année, avec des prototypes et des démonstrations dans les rues de Las Vegas par nombre de constructeurs et équipementiers. Mais si on ne conduit plus, cela ouvre la porte à plein d'autres activités.
L'Oasis est comparé à « un salon roulant », avec un habitacle spacieux et adaptable. Quand il passe en mode autonome, le volant se replie pour accueillir une tablette avec un clavier et un porte-gobelet. Sur l'écran prenant toute la largeur du pare-brise avant, les informations utiles pour la conduite laissent place à des applications productives (vidéoconférence) ou de divertissement.


Les véhicules sont déjà très connectés, et commencent à parler grâce aux assistants virtuels à commande vocale.
Certains envisagent de transformer la voiture en plateforme de paiements, comme Honda qui montre, en coopération avec l'émetteur de cartes bancaires Visa, un système pilote pour régler directement depuis la voiture à la pompe ou au stationnement.
Plusieurs acteurs du secteur automobile envisagent aussi de personnaliser l'expérience de l'utilisateur avec la reconnaissance vocale, faciale, ou même biométrique.
Cela pourrait permettre de proposer des programmes audio différents aux passagers d'une même voiture, de se rappeler des réglages de différents utilisateurs, ou d'adapter l'environnement intérieur à leur humeur et leur état de fatigue.
Hyundai explique par exemple qu'on peut avoir des capteurs dans le siège pour évaluer la posture, dans la ceinture de sécurité pour surveiller la respiration respiratoire, dans le volant pour suivre le rythme cardiaque, et déceler ainsi qu'un conducteur risque de s'endormir ou est en situation de stress.
Le groupe sud-coréen expérimente sur des réponses sensorielles : réveiller un conducteur somnolent avec de l'air frais, une lumière bleue et une odeur mentholée, ou le calmer avec une lumière, une odeur et une température plus chaudes.
De tels systèmes pourraient aider à diminuer les accidents, mais aussi à « réengager » dans une situation d'urgence un conducteur dans une voiture en mode autonome, avance David Mitropoulos-Rundus, qui travaille sur ces sujets chez Hyundai.


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La voiture volante!


Deux ans et demi après avoir dévoilé un prototype plutôt séduisant, AeroMobil s'apprête à présenter la version finale de sa voiture volante qui sera commercialisée dans le courant de l'année 2017.

L'AeroMobil n'est pas un Adav (aéronef à décollage et atterrissage verticaux), mais bien un avion dont les ailes se replient à l'horizontale le long de la carrosserie pour passer en mode automobile. Selon les informations livrées par l'entreprise slovaque éponyme, l'engin biplace pourra voler à 200 km/h en vitesse de pointe et atteindre les 160 km/h sur route. Le prototype initial était équipé d'un moteur essence Rotax 912, mais le dernier communiqué de presse d'AeroMobil parle d'une motorisation hybride, sans en dire davantage.

Le poste de pilotage de l’AeroMobil dispose de toute l’instrumentation aéronautique nécessaire. Le volant se double d’un manche. © AeroMobil




Inspirés par les drones ou par les films de science-fiction, de plus en plus de projets de véhicules aériens voient le jour.
Esquissée dans les dessins animés des années 1960, popularisée au cinéma dans les films Blade Runner et Le Cinquième Élément, la voiture volante pourrait bien devenir réalité dans les mois à venir. Jamais autant de projets n'ont été lancés, par des inventeurs indépendants, des groupes aéronautiques ou des start-up spécialisées dans la mobilité. Même le cofondateur de Google, Larry Page, est sur les rangs: il finance une petite entreprise, Zee.Aero, qui développe un véhicule à décollage vertical.
Dans l'imaginaire populaire, la voiture volante prend la forme d'un mini-astronef capable de décoller et d'atterrir à la verticale ou d'une automobile pouvant déployer ses ailes au moment de s'envoler.
Pilotage automatique
Recette comparable pour The Transition, présenté comme «la première voiture volante opérationnelle» par la start-up américaine Terrafugia, qui l'a lancée. Propulsé par un moteur à essence, cet engin biplace circule sur la route comme une voiture traditionnelle. Une fois ses ailes dépliées, il peut voler, y compris en pilotage automatique, sur une distance de 650 kilomètres à 10 000 pieds, avec une vitesse de pointe de 160 km/h. Terrafugia vient d'obtenir l'aval des autorités américaines pour commercialiser The Transition aux États-Unis. Mais, si cet appareil ressemble plus à un petit avion-taxi qu'à une automobile, le prochain modèle de Terrafugia, le TF-X, rappellera davantage les voitures volantes de science-fiction avec son cockpit aérodynamique et ses propulseurs électriques. Capable de décoller et d'atterrir à la verticale, entièrement contrôlé par ordinateur, il devrait voir le jour d'ici à une vingtaine d'années.

De son côté, le spécialiste chinois des drones Ehang préfère à la voiture volante le concept de «véhicule aérien autonome». Son modèle 184 ne peut pas rouler comme une automobile, mais permet de transporter un passager sur de petites distances pour une durée de vol de 23 minutes. Physiquement, l'appareil reprend les principes du drone: une cabine flanquée de quatre rotors. Comme les petits modèles les plus sophistiqués, il dispose de capteurs et de caméras qui gèrent le décollage et l'atterrissage sur des zones précises. Un système antichute le force à atterrir immédiatement au point le plus proche dès qu'un problème est détecté. Une application mobile permet de commander l'appareil et, à basse altitude, le contrôle est pris en charge par un opérateur au sol.

Le transport du futur
Dans la majorité des projets, cependant, la voiture volante ressemble moins à une automobile qu'à une sorte de navette ou de minibus aérien. D'ailleurs, Uber a déjà manifesté son intérêt pour de tels engins, qu'il considère comme le moyen de transport du futur. La société a récemment signé un partenariat avec Airbus pour lancer un service de taxi-hélicoptère. Lequel groupe Airbus est en train de développer un projet particulièrement adapté par l'intermédiaire de sa filiale américaine A3. Baptisé Vahana, ce véhicule autonome est conçu comme une sorte d'avion-taxi et pourra être commandé à partir d'un smartphone. Dépourvu de roues, il peut décoller et se poser à la verticale. Ses hélices (quatre sur l'aileron avant et quatre autres sur les ailes arrière) s'inclinent à l'horizontale pendant le vol. «La plupart des technologies nécessaires, comme les batteries, les moteurs et l'avionique sont déjà là, estime le PDG d'A3, Rodin Lyasoff. Mais notre plus grand défi consiste à mettre au point un système de détection anticollision éprouvé pour l'aéronautique.» Les premiers essais devraient débuter cette année en vue d'une commercialisation d'ici dix ans.
La voiture volante promet la fin des embouteillages et la perspective de trajets plus directs. Elle devrait aussi contribuer à réduire la pollution et à faire des économies. «Avec ce type de véhicules aériens, il n'y a plus besoin de dépenser des milliards en infrastructures et en routes», indique Tom Enders, PDG du groupe Airbus. Mais elle crée aussi de nouveaux désagréments: nuisance sonore, risques de crash, surtout si l'engin doit survoler des zones habitées. Sans compter qu'il faudra convaincre les autorités et créer de nouvelles réglementations.

Enfin, les conditions d'utilisation varieront selon le type d'appareil. Certains nécessitent un pilote, lequel devra disposer d'une licence, d'autres sont contrôlés par un opérateur au sol et d'autres fonctionnent en pilotage automatique, suivant l'itinéraire programmé par les passagers à partir de leur smartphone. Alors que la voiture autonome focalise toutes les attentions, l'ensemble de ces projets prouve qu'il reste encore des rêveurs pour renouer avec les utopies du XXe siècle.



Le transport dans les années avenirs connaîtra un grand bouleversement, un premier vrai virage depuis sa création. Antérieurement, les avancés étaient sur des améliorations sur la sécurité, sur l'économie de carburant et la plus grande avancé des dernières années, le GPS, nous permettant d'aller dans des endroits inconnues, sans même demander notre chemin.


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À lire la semaine prochaine; La téléportation.


P.S. Voir L'apocalypse révélée par le sablier, le livre que j'ai écris suite aux recherches faites et décrites dans ce blog.



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